Projo de l’OPCAL – Mois du film documentaire

30 novembre 2017

En partenariat avec la médiathèque Luce Courville (Nantes), et dans le cadre du Mois du Film Documentaire, l’OPCAL organisait une Projo sur le thème de l’immigration.

Au programme de cette soirée, plusieurs courts-métrages :

Dublin II, de Basile Remaury                       
Production : La Petite Prod                                                                                                                                     
Documentaire – 12’17


Synopsis : Lela occupe, avec son mari et ses enfants, un pavillon de banlieue, qu’ils partagent avec une autre famille. Dans leur petit jardin, elle offre une tasse de thé aux deux Françaises venues lui proposer de filmer un portrait d’elle. Elle raconte son périple depuis la Géorgie, et sa vie ici, entre clandestinité et attente d’une réponse à sa demande d’asile.

Intranquille, de Maxime Faure
Production : La vidéo supérette
Documentaire – 5’


Synopsis : Entre hier et aujourd’hui, une jeune femme est en marche vers un mieux vivre ensemble. Son pays tente de se reconstruire après la révolution. Rien n’est encore acquis, elle le sait.

Changement d’Horizon, de Wassim Chouakria & Johan Neveu
Production associative
Documentaire – 22’54


Synopsis : Portraits d’étudiants algériens partis faire leurs études en France ; une étude sur la fuite des cerveaux que l’État algérien cherche à ralentir ; étudiants aux parcours parfois aboutis, parfois inachevés, mais ayant tous pour point commun une étape importante : un passage en France source d’ouverture sur d’autres horizons.

Marias au pays de Marianne, d’Orlanda Ribeiro
Production : Les Films du Balibari
Documentaire – 7’
Synopsis : C’est l’histoire de trois soeurs d’une famille d’immigrés Portugais; avec pour chacune des parcours et des choix de vie variés; elles se confrontent à leur histoire et leur passé …

Histoire de Café d’Ananda Safo
Production : L’Autre Vie du Papillon Arts Productions
Documentaire – 10’


Synopsis : Lorsque le café est un prétexte pour se rencontrer, se parler, se raconter, s’ouvrir, apprendre, se souvenir … le sable du désert marocain s’invite jusque dans la machine à café du troquet du coin. De Zinaida à Makkia, plusieurs femmes expatriées, en situation de migration et/ou réfugiées, nous content leurs âmes déracinées jusqu’à ce que l’odeur des grains de café grillés arrive à nos narines.